Resident Evil: Survival Instincts
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# Seconde information rapide...
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2020, après la grande guerre d'Umbrella Corporation, contre le monde entier... Un Empire sera crée par la nouvelle présidente, Alma. Celle aura très vite fait de transformer le monde en un lieu de terreur et de sang. Quelques mois plus tard, elle finira par être tué, alors qu'à l'intérieur des rang de l'Empire une rébellion démarrera. Umbrella Corporation refera surface en héritant de ce que Alma aura laisser pour finir par prendre la tête du monde. Peut de personnes sont au courant, mais pas mal de questions se pose. Que va-t-il donc se passer maintenant ? Et qui est le nouveau chef de l'Umbrella Corporation ?
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Un mois et quatre jours
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MessageSujet: Un mois et quatre jours Un mois et quatre jours Icon_minitimeLun 15 Fév - 22:28
Un mois et quatre jours

Ozuki Lindley, James.K Lindley, Leto Halleck, Miya-Izumi Yevriska



Un mois et quatre jours, voilà le temps durant lequel je n’avais pu être présent au sein de la base. Un long moi de convalescence et quatre jours de voyage pour tailler la route du camp des Leskov jusqu’à la route principale qui allait finir par ramener chez moi. J’avais demandé aux Leskov de rentrer seul, afin que je puisse faire une sorte de point sur moi-même et aussi parce qu’un homme seul est plus facilement dissimulable qu’un groupe de trois personnes. Non pas que je n’avais aucune confiance en leur capacité, mais cela faisait un moment que je faisais cavalier seul au sein de notre armée et je ne pouvais pas me permettre de mettre quiconque en danger.

J’avais complètement récupéré de mes pérégrinations, il n’y avait que mon vêtement qui portait encore les traces de mes affrontements. Le pan arrière était complètement déchiré et diverses marques de lacérations étaient présentes un peu partout laissant apparente ma peau blanche. L’ancien symbole de notre unité faisait pâle mine dans cet état, sans parler de mon sang qui avait définitivement imprégné le tissu, tant par l’odeur que par la couleur. Le dessin de base blanc avait pris une teinte délavée absolument ignoble à regarder. À mon retour cette tenue irait sans doute rejoindre une poubelle... je perdrais alors l’un des ultimes trésors d’un temps passé.

D’un temps où nous reprenions notre place dans notre manoir en plein cœur du Japon. D’un temps où il faisait encore bon vivre, où la vie battait son plein et les humains s’auto-considéré comme mettre du monde. D’un temps où j’avais eu la chance de retrouver les traces de mon passé et surtout de ma mère. Une époque de paix arrachée par une guerre absurde menée par une sale gamine dont les seules ambitions devaient sans doute être de nous faire peur. Voilà ce qu’il se passait lorsque l’on laissait les enfants faire ce qu’il voulait... le chaos... voilà tout ce qui régnait.

Marchant sur les restes d’une route goudronnée, j’avançais en dressant ce triste bilan du présent. Énumérant une à une les mes chances de retourner cette situation à l’aide de la future unité. Seulement, un détail ambiant me troublait. Peu importe où je regardais, la route était étrangement vide. D’habitude, quelques Macabées l’arpentée dans l’espoir d’engloutir un peu de viande fraiche, mais aujourd’hui, c’était le calme le plat. Un calme des plus mauvais à mon sens. Les nuages noirs menaçaient de déverser leur torrent sur la terre et l’air était empli d’une odeur étrange. Pris par un vif sentiment d’agacement, je décidais de presser le pas. Le frangin devait être averti de ce qu’il se tramait autour de la base.

Mon regard fut attiré par un simple oiseau qui fendait le ciel à une vitesse vertigineuse. L’animal avait perdu la moitié de son plumage et ses yeux rouges me fixaient, avant qu’il ne fonde en piqué. Imméditament, je sentis mes jambes se décaler pendant que ma main droite empoignée la lame rougeoyante pour renvoyer l’être venu d’ailleurs dans un monde meilleur. Une fois ma basse besogne accomplie, mes billes se perdirent sur la carcasse du monstre coupé en deux. Jusqu’à ce que plusieurs coups de feu de me fasse revenir à la raison.

Ma tête se tourna dans la direction des tirs, s’en suivit un profond malaise qui m’étreignit de toute part. C’était la direction de la base et au vu de l’intensité des coups de feu, cela n’avait rien d’un entraînement. Sans perdre une seconde, je récupérais mes affaires et partit en direction des coups de feu une certaine boule au ventre. Plus j’approchais et plus l’agacement monté, jusqu’à atteindre son paroxysme, dès que je fus assez près pour entendre la sirène d’alarme retentir.

Je savais bien que cette absence d’infecté n’avait rien de normale. Au fil de ma route, je finis par tomber sur trois cadavres arborant des treillis militaires, j’eus de la peine à reconnaître leur visage tant ils étaient méconnaissables. La peau de leur crâne avait été tout simplement arrachée, ne subsistait que des pans de peau sanguinolente, tandis que leur corps avait été vidé de tout organe. Cela n’avait rien d’un travail de professionnel, mais plutôt l’air d’une boucherie. Les noms sur les plaques des trois soldats ne firent que confirmer mes craintes. Ils étaient de chez nous. Trois éclaireurs connus pour leur sérieux et leur aversion pour la violence gratuite.

Le regard dans le vide, je posais mes mains sur l’endroit où auraient dû se trouver leurs yeux, rendant ainsi mon dernier hommage. Les responsables de cette boucherie avaient certainement pris d’assaut la base et voulaient s’occuper de tous les vivants qui arpentaient son sol. M’inquiéter pour mon frangin était inutile, tout comme pour mon père. Ces deux-là savaient bien se battre... en revanche... ceux qui allaient former ma nouvelle unité n’étaient pas de la même trempe. Le sang frais sur les vêtements de mes anciens hommes indiquait que la barbarie était récente, par conséquent... cela ne devait faire qu’un quart d’heure que nos ennemis étaient arrivés à la grande porte.

Mes yeux se levèrent des cadavres pour fixer la route. Je connaissais bien le terrain et par conséquent, savais que suivre la route principale allait rallonger mon périple. Je devais me hâter et pour cela, je devais arrêter de suivre le sentier et passer par un autre chemin. Beaucoup plus sinueux et dangereux. J’analysais les options avec le plus de calme possible avant de me lever et foncer vers ma route alternative. Les infectés devaient certainement être amassés devant les portes s’ils ne l’avaient pas déjà franchi... Le bruit allait certainement en attirer d’autres, mais celui qui avait donné l’alerte savait ce qu’il faisait normalement. Tout comme celui qui avait ordonné aux hommes d’user leur minution. L’attaque était donc de grande envergure.

Tout en courant sur la terre, j’énumérais notre nombre d’options. Le nombre de soldats qui allaient sans doute y rester, et ceux qui auraient la chance ou malchance de voir le lendemain. Aînés... Novices, Bleue... tant de termes qui perdaient leurs significations au sein de l’action. Il ne restait plus que des soldats et des hommes pour les commander. Afin de gagner, il fallait du génie et de la réussite avec un soupçon de chance... c’était là le lot de toutes les batailles. Mes bottes frappaient le sol avec rage alors que je continuais d’approcher de la base.

Il me fallut une poignée de bonnes minutes pour parvenir à voir l’étendue des dégâts. C’était horrible. Des hordes de morts-vivants s’amoncelaient contre la grande porte, tandis que des hommes postés dans des bâtiments en ruines tiraient dans le tas sans se préoccuper des munitions à l’aide de mitraillette. Un sacré merdier... mais nos forces étaient trop faibles pour contenir autant d’infectés. Sans parler des ABO qui elles parvenaient à sauter par-dessus les barbelais pour écorcher vif nos soldats. Le massacre était total... Il y avait là une centaine d’infectés et une vingtaine d’ABO qui prenait d’assaut ma maison.

Mes réflexions se stoppèrent, il était temps de passer à l’action. Un soupir plus tard, je n’entendais plus que le son de l’acier frottant, avant que mes pieds ne me portent jusqu’aux portes. Il était de mon devoir de protéger ma maison cette fois... et je comptais bien mener ma mission à bien. Sabre à la lumière, œil hagard, l’heure de la vengeance avait sonné. Il ne subsistait qu’une lueur rouge qui fondait sur l’amas d’infectés sans la moindre peur.


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MessageSujet: Re: Un mois et quatre jours Un mois et quatre jours Icon_minitimeVen 19 Fév - 16:35

Les jours se suivaient et se ressemblaient un peu. Cela faisait un mois que le groupe d’amis se consacrait pleinement aux tâches qui leur avaient été assigné par Ozuki. Et attention, il ne s’agissait plus de ménage et de nettoyage, mais bien des entraînements aux armes diverses pour les uns et Steven s’occupait de Leonardo et Emerich, leur trouvant des occupations utiles. L’allemand restait assez taciturne mais obéissait sans faire de vague, une force assez tranquille au fond, et l’italien avait tout de suite établit un lien petit-fils – grand-père. Si les deux respectaient et parlaient à Steven, il était évident qu’ils avaient en revanche du mal à aller voir Miya, Vladimir et Mikhail qu’ils tenaient surement pour responsable de la mort de leurs camarades même si ceux-ci n’était pas des plus recommandable. Ils auraient bien eut peur d’Alexsei et d’Ozuki mais ni l’un ni l’autre n’était dans les parages.

Miya s’inquiétait à propos du sabreur d’ailleurs. Etait-il en mission ? Il aurait pu prévenir, lui qui avait pour projet de former un groupe ! S’il disparaissait ainsi, ils ne comprenaient pas trop l’intérêt… Et Alex, allait-il bien aussi ? Le jeune homme semblait avoir perdu tellement de sa vitalité d’avant. Mais n’était-ce pas pour ça qu’elle s’entrainait ? Qu’ils s’entrainaient tous ? Pour éviter que d’autres drames surviennent, du moins, pour cesser leur progression. Et anéantir un jour Umbrella pour reconstruire un monde. Peut-être pas comme il était avant, l’humanité pourrait-elle se relever en mieux ?

Mais l’heure n’était pas à de telle considération. L’entraînement était en pause – vers onze heures – histoire de leur laisser le temps de souffler, et Miya se désaltérait à une flasque d’eau, espérant qu’elle avait progressé, même si cela ne faisait qu’un mois. Heureusement, trouver, choisir et abattre une cible seule était un exercice qu’elle avait déjà pratiqué, faute de coéquipier disponible et formé pour ça. De toute façon, lors d’un affrontement, tous les bras étaient occupés à tenir des armes. Mikhaïl l’avait bien comprit vu qu’il s’entraînait à présent avec deux armes, et devait à présent s’améliorer surtout sur le fait de les recharger sans faire tomber l’une d’entres elles. En russe, son camarade qui l’avait vu plongé dans ses pensées lui demanda :

- Alors, toujours pas de nouvelle du maître des licornes ? Ça doit bien faire un mois !

Miya sortit de ses pensées, esquissant un sourire. Depuis qu’Ozuki avait dit qu’il pouvait transformer Mikhaïl en licorne, celui-ci lui avait trouvé un nouveau surnom, secret bien sur. Tout comme Achior était devenu « l’homme invisible ». Puis sa bonne humeur naissante disparue soudainement en entendant l’alarme. C’était pour eux la première fois que ça arrivait mais nul doute que quelque chose de grave se produisait à la base. Et qu’ils devaient vite se manier les fesses, comme tout le monde. Ils coururent le plus vite possible à l’extérieur de la salle d’entraînement pour se diriger vers les cuisines, cherchant instinctivement à rejoindre Steven puis Vladimir. Mais ils ne purent pas aller bien loin. Même si l’appel était récent, des ABO avait sauté par-dessus les clôtures – ils seraient bien incapable de mettre un nom sur tous- et commençaient allègrement de tailler les hommes et leur route. Au dehors, des grognements bestiales résonnaient, et des coups retentissaient sur la porte. Et ça n’allait pas en s’arrangeant.

Miya trouva sa place sur les remparts avec Mikhail, afin d’éliminer les zombies arrivant. Cela leur permettait de tâcher de contenir le flot mais les mettait aussi en première ligne. Si ils avaient aussi une arme blanche tranchante avec eux – en l’occurrence ils avaient pris une hache, il n’y avait pas trente-six choix, ce n’était pas des grands manieurs bourrins, et quand un zombie sautait plus haut que les autres, c’est avec une répugnance – qu’elle tâchait d’enfouir – que Miya le décapitait.

Malgré leurs efforts, il en arrivait toujours plus. L’ex policière identifia un zombie semblant « encourager » les autres à attaquer. Un boursouflé avec une grosse gorge rouge dans ce tas grouillant. Il s’agissait vraisemblablement d’une partie de la cause de cette attaque d’envergure. Il fallait l’éliminer, vite. Mais à force d’être dissimuler par ses « camarades  de putréfaction », Miya ne pu lui tirer dessus tout de suite. Il lui semblait que celui-ci faisait des choses étranges, parfois elle et d’autres soldats se sentaient… paralysés quelques secondes, ce qui n’arrangeait rien à la situation, certains mourraient à cause de cela.

- Vas y !

Mikhaïl avait tiré avec acharnement dans le tas afin que Miya ait une ouverture pour tirer sur le grotesque ramassis de chair. Avant que cette légère faille d’une seconde ne disparaisse, la jeune femme appuya sur la détente. La gorge pleine de sang explosa mais ils furent de nouveau figés sur place. Un zombi escaladait de ces membres à vif le mur, la jeune femme le regardait s’approcher sans pouvoir réagir. Bouges… Bouges… Plus que quelques mètres…

- MIYA !

Comme d’un fait exprès, face à l’interpellation de son camarade, Miya cligna des yeux et envoya un coup de cross de fusil au zombi pour le faire tomber. Cela ne le tuerait pas, mais elle n’avait pas vraiment eu le temps de penser à autre chose. Malgré cet acte, ils durent battre en retraite, n’ayant pu assez de munition et beaucoup – trop – de soldat de première ligne était morts alors qu’une centaine de zombis bien vivants – si on puis dire – étaient encore aux portes. Quand ils se retournèrent vers Vladimir, ils ne purent s’empêcher de voir le carnage qu’était devenu le camp, trop d’ABO étaient passées.

L’homme à lunette tenait un katana visiblement pas à lui car il n’en avait jamais possédé, ramassé sur l’un des corps de ses camarades et son pistolet était à son côté. S’il affichait un air imperturbable face au charnier, sa main était crispée sur le manche de l’arme. Avant même qu’ils établissent un plan d’action, une créature ressemblant à un être humain, du moins aux muscles d’un être humain, avec une bouche trop dentelés et des yeux on ne sait où leur déboula dessus avec rapidité. Miya réagit vivement et lui tira plusieurs fois dans la tête jusqu’à ce que la chose horrible s’arrête à leur pied. Comme il semblait bouger encore, Vladimir le décapita en tenant son arme nouvellement acquise à deux mains. Il imitait simplement le peu d’utilisateurs de katana qu’il avait vu, ce n’était pas aujourd’hui qu’il deviendrait un grand sabreur, ça c’était sûr.

Puis leur regard se tournèrent vers un zombie plus grand plus vif encore que son feu-camarade-de-muscle qui semait mort et terreur sur son passage. Il fallait que des gens se dévoue pour l’arrêter, et à défaut de savoir qui en avait les moyens, ils décidèrent d’un commun d’accord qu’ils allaient tenter, et se mirent en route dans cette direction des moins réjouissantes.

Les zombies:
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MessageSujet: Re: Un mois et quatre jours Un mois et quatre jours Icon_minitimeMar 1 Mar - 16:12



Depuis quelques jours seulement, Leto s'habituait à se retrouver ainsi en groupe. Lui qui d'ordinaire agissait en solitaire..le voici entouré d'hommes et d'un monde qu'il n'aurait jamais cru possible. Notre ancien flic avait toujours eut qu'en tête de faire son travail et trouver les véritables auteurs de l'assassina de sa mère et de son père. Ce dernier avait toucher quelque chose en sa dernière enquête, mais jusque là... notre irlandais n'avait que de vagues indices, touchant Umbrella. Mais rien de bien concret. Cependant,  Leto ne renonçait en aucun cas à trouver les coupables.. même dans ce monde empli de chaos... il n'y voyait rien de futile à laisser tomber.  C'était sa vengeance et une manière d'honorer la mémoire de sa famille.   Ceci étant dit, sa santé s'était un peu fragilisé depuis qu'il ne portait plus le badge d'inspecteur.  Son cœur avait son petit caractère, suite à la blessure par balle, mais c'est pas pour autant non plus que Leto stoppait la cigarette. Il se surveillait mais sans plus. Même James ne pouvait pas le calmer sur ça. C'était un peu la seule chose  qui lui restait d'une vie pour le moins ordinaire.  Un moment de détente... D'ailleurs, il en avait une au bec actuellement , assit sagement sur une chaise, Ses mains agiles et appliquées  nettoyait chaque pièce de son Matever. Cette arme.. c'est la seule chose qu'il à garder de son ancien boulot.  Une arme sûr.. qui s'enraillait quasiment jamais. L'irlandais passa une dernière fois un peu son chiffon sur le canon, puis il remit soigneusement tout en place, venant à vérifier que tout était parfaitement en ligne. Tout était bien calme. Comme quoi, on pourrait presque oublié la situation, tandis qu'il reposa sa clope dans le cendrier.. Dans l'idée de la reprendre plus tard.. Il n'aimait pas tellement la gâcher, ça devenait un peu rare ces derniers temps. C'est pas comme s’il pouvait aller au tabac du coin pour s'en offrir d'autres. Il se devait de même les planquer parfois.

Reposant l'arme quasi prête sur la table d'appoint, Il s'étira un peu et  porta un regard sur ce qui l'entourait.. Vaguement du moins.  Sa main alla machinalement dans sa poche de pantalon pour en soutirer une boite, dans laquelle, il vint à pêcher deux trois cachetons , avant de les avaler d'un mouvement qui trahissait l'habitude. Mais alors  que ses yeux se voilèrent par réflexe, l'alarme se mit à retentir de toute part. Adieu... pose clope et sensation de bien être... Bonjour le boulot.

Rapidement, Leto attrapa le chargeur de son arme pour le mettre en place et rejeta la chaise en arrière pour  venir prêter main forte en grimpant sur les hauteurs, afin de  voir les dégâts et l 'ampleur de l'attaque.  Ce qu'il vit .. ce ne fut pas pour lui faire plaisir, il n'avait que trois chargeurs, et avec ça.. il n'arriverait pas au bout de tout ce petit monde qui s'invitaient joyeusement. Certains hommes débordés, se faisaient littéralement dévoré ou démembrés.  Alors que notre inspecteur, cherchait à  flingué en ajustant ses tirs, afin de faire une ouverture pour ceux qui en avaient besoin. C'est dans ces moments là, où il regrettait un peu une arme blanche, histoire d'être plus efficace dans le corps à corps.. Les arts martiaux c'est bien, mais une arme.. c'est pas un mal non plus.  Tandis qu'il  s'occupait de dégager quelques zombies, il sentit une poigne sur sa jambe gauche, comme voulant le faire tomber. Ce qui ne tarda pas à arrivé et  C'est en roulant sur le dos, que l'asocial  put faire face à une tête qui n'avait pas vu le jour depuis bien dix ans.. Cependant, c'était mal connaître l'instinct de survis de Leto et ce dernier lui logea une balle dans le crâne avant de rapidement se redresser.. Il allait devoir se bouger de là s'il ne voulait pas être envahit...

Son premier chargeur commençait à sérieusement baisser, tandis qu'il perçu du débordement sur sa gauche, avec un zombi bien plus gros que la moyenne.. Pour le coup Leto haussa largement d'un sourcil... celui là... il allait vraiment causer de gros emmerdes.. Mais l'irlandais n'était pas le seul à l'avoir remarqué.. Cela dit, pour rater un tel morceau, il fallait clairement être aveugle, où planqué dans ses toilettes.  Pour le reste, Leto quitta son perchoir pour venir dans la direction du Gargantua .. c'est ainsi qu'il le nomma pour sa part, venant à rejoindre Mya. Ce n'était pas comme s'il l'a connaissait vraiment, mais bon, ici tout le monde ne faisait que s'entrevoir parfois.. En tout cas c'était un peu ainsi pour notre ancien flic, un peu trop solitaire ou  asocial.  L'arme en main, il se fraya une route vers la bestiole qui en avait la chaire à la bouche.. il faudra qu'il lui propose un peu de dentifrice un jour.. ça serait pas mal pour l'haleine.  


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MessageSujet: Re: Un mois et quatre jours Un mois et quatre jours Icon_minitimeMer 2 Mar - 12:04


Et pow pow pow!Featuring → Ozuki Lindley, Miya Izumi Yevriska, Leto Halleck


A la base... James comptait passer une journée tranquille, dans ces quartiers, à pioncer pour éviter de pensé qu'il avait un crétin de petit frère qui était pas encore revenu... Et qu'il allait bien lui défoncer la gueule à son retour. Le père Lindley n'avait pas cesser d'observer James et se foutre littéralement de sa gueule... Et il disparu la veille, pour on ne sait quel raison. De toute façon, il revenait toujours alors, Lindley avait pas à s'inquiéter pour son père. Enfin... Le chef des Rebelles dormira un peu... Jusqu'à ce que l'alerte fut lancé... Il ouvrira doucement les yeux... S'était quoi ce bordel ? On peut plus pioncer tranquille dans cette putain de piaule ?!

James finira par se lever et d'aller jeter un coup d'oeil par la fenêtre... Et qu'il y ait des tires, quelques explosions de grenades lancer par ces troupes... Et... L'homme de feu serra les dents alors qu'il se mit à grogner sous la frustration. S'était quoi ce bordel, encore ? Il ne faudra pas longtemps au jeune homme de prendre ces affaires... jetant un coup d'oeil vers le sabre de son oncle défunt, il le prendra avec lui et le tiendra fermement entre ces doigts avant de sortir de son modeste appartement de la base et de se mettre à courir dans les couloirs en gueulant qu'il était temps de se bouger le cul et d'aller défoncer ces ABO. Il sera rapidement suivit de quelques gardes, qui recevront l'ordre de faire en sorte de mettre en sécurité les quelques civils qui séjournait dans ce camp.

Lindley voyait rouge... Plus il avançait, plus il était en colère... On ne foutait pas le bordel dans SA base sans en devoir supporter les conséquences... Ils allaient morfler... Et dire que Ozuki était pas encore là. Bordel, ce petit con allait l'entendre quand il rentrera, s'en était sur ! Serrant les dents, son sabre accrocher dans le dos, il accélérera le pas avant de voir un petit groupe de survivants apeuré et recroqueviller sur eux même... Le cadavre d'une femme a leur pied, les empêchait de bouger... Et James s'approchera toujours plus avant de voir un licker près à leur bondir dessus. Il en était hors de question... Il serra les dents, et se mettra devant les gamins, au dernier moment, pour frapper le licker en pleine tête, avant de lever son pied, alors que la créature finit sur le dos et de littéralement abattre son pied sur sa tête en grognant.

Merde... Il vient de dégueulasser ces pompes avec du sang de Licker maintenant... Il chargera bien quelqu'un de nettoyer ça... Son regard se poser sur les gosses avant qu'un soldat arrive et il lui ordonnera de mettre les gosses en sécuriser avant de finir par se remettre à courir. Sans oublier de cramer les cadavres de civils et de ces soldats... Au cas ou... On ne sait jamais. L'infection pouvait se propager super rapidement et James ne voulait pas prendre de risque.

 « VISEZ LA TÊTE BANDE DE CUTÉREUX !!! GROUILLEZ VOUS DE SECURISER LES PORTES !! Brûlez nos morts pour éviter que l'infection se propage ! »

Beuglera-t-il alors qu'il approchera des portes, attrapant un zombie par la tête, et de l'éclater sur le sol en grognant... Non mais putain... Comment ils étaient entrée ? Et ces Licker... Fait chier... Il allait y avoir des gars qui allait se prendre un séjour de nettoyage, il le sentait venir. Un soupire s'échappera de ces lèvres, alors qu'il ordonnera à ces gars de travailler en équipe et de se coordonné... putain... Ils avaient rien apprit depuis le temps ou quoi ? Il jettera quand même un coup d'oeil vers Miya et ces potes... Ho mais s'était les mioches qui allait être l'unité spécial d'Ozuki... Ma fois... James ne les calculera pas plus que ça, préférant voir comment il se débrouillaient sur le terrain. Cela lui permettra de voir si Ozuki avait eu raison à leur propos, hein ?

Enfin... Pour l'heure il avait plus important à faire... défoncer du Licker et du mort-vivant et... tout ce qui passera sous la main... D'ailleurs, un de ces foutu Licker tentera une attaque sur sa gauche... Il eut tout juste le temps de récupérer son sabre pour venir le frapper... Sans dégainer sa lame... Sa force surhumaine du à son virus ferait déjà pas mal de dégâts...  Tiens... Il est ou Leto ? Si cet enfoiré lui clamse dans un coin de la base... Il pète un câble directe le Lindley. Tsss... Et ces ABO qui servent à rien à part lui faire faire un peu d'exercices de bon matin. Il continuera à cogner et défoncer tout ce qui lui passait sous la main... Autant éliminer un maximum de ces monstres... Et James... Même s'il n'était pas censé finir au milieu d'un champ de bataille... Que le big boss devait rester en retrait... Il en avait rien à foutre, il irait sur le terrain avec ces gars, qu'on le veuille ou non.

Enfin... Jusqu'à ce qu'il finisse par voir quelque chose du coin de l'oeil... Qui vint à le frapper... Il tentera de le parer, et se rendra vite compte qu'il s'agissait d'une main... bien grosse... Et le voilà qu'il se mettra à reculer sur ces pieds, laissant une traîner sur le sol... Ho bordel... S'était quoi ce truc ? James se mettra à sourire, étrangement, sa l'amusait pas mal d'avoir des ABO pareil sur le dos... Sa lui permettra de s'amuser un peu, malgré la situation...



[HRP= Elle est belle la bebette qui veut ma mort hein? Iciiii
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MessageSujet: Re: Un mois et quatre jours Un mois et quatre jours Icon_minitimeVen 4 Mar - 11:18
Un mois et quatre jours

Ozuki Lindley, James.K Lindley, Leto Halleck, Miya-Izumi Yevriska



Courir vers la base le plus rapidement possible, c’était la seule chose qui m’importait. Rejoindre les miens le plus vite possible et pouvoir utiliser mon expérience pour aider à repousser cette terrible invasion. Nous avions la preuve aujourd’hui que ce monde était devenu fou, la preuve que certains devaient se dresser pour combattre ce mal sorti tout droit de ce qui aurait pu être un sacré bon jeu vidéo. Malheureusement, cela n’avait rien d’une fiction, les grognements sonores, les pas lancinants et les cris qui s’élevaient à l’intérieur n’avaient rien d’une foutue fiction. Des hommes étaient en train de mourir, attaqués par des putains de morts-vivants sans la moindre once d’intelligence. Je ne pouvais pas laisser faire cela, pas chez moi !

Voilà pourquoi je me hâtais de descendre cette foutue colline, accélérant à chacun de mes pas. Mon cœur battait la chamade, j’avais tellement de choses auquel je tenais qui devait certainement combattre au sein des murs. Tellement de personnes réellement importantes pour moi. Comment m’assurer qu’ils allaient tous bien ? Les pires craintes se bousculaient dans ma tête, je voyais déjà des tas de corps éviscéré, d’autre mordu qui se relevait lentement. Je ne pouvais pas laisser faire cela. C’était impossible... sans compter que mon con de frangin était sans doute déjà sur le front, dans un état de nervosité que je n’osais même pas imaginer...

Si seulement j’étais revenu une heure plus tôt, les choses auraient pu être bien différentes. James était peut-être un excellent combattant, mais sa stratégie était bien souvent trop primaire. Rentrons dans le tas, et puis nous verrons. Oh bien sûr sous ses airs d’enfoiré, il regrettait de devoir envoyer tout le monde au saloir sans en avoir rien à foutre, mais l’impassibilité dont ils faisaient preuve durant ce genre d’évènement empêcher ceux qui ne le connaissait pas vraiment de comprendre. Voilà pourquoi il était important que je le rejoigne au plus vite... avant que la fin annoncée depuis notre naissance n’en devienne plus précoce.

Mes pas continuaient de me rapprocher de l’océan d’être avide de chair et de sang frais. Mes intentions étaient lisibles dans mon regard, tous les renvoyer dans un monde. Leur nombre important constituait cependant un grave problème. Un sabre seul serait bien trop long à évincer chacune de ses créatures. Il fallait quelque chose de plus puissant, de plus persuasif. Un sourire commençait à germer, pendant que mes connexions entre mes neurones firent germer une idée. Oui, cela pouvait marcher, mais c’était risqué, bien que la définition de ce mot n’avait plus vraiment d’importance. Je me rapprochais toujours de l’océan de gazouillis et autre doux son gutturaux, mais au lieu d’adopter une position offensive et de trancher dans le vif du sujet, je me contentais de sauter pour atterrir sur leur épaule et jouer à l’équilibriste pour atteindre la tête du peloton. Là-bas, ils s’entassaient pour former le seul accès viable et sans danger à la base. Le tout était d’être suffisamment rapide pour ne pas finir mordu par inadvertance par l’un de ses débiles qui me servaient de sol, mais la vitesse, ça me connaissait. Tel un funambule sur un fil, je fonçais vers les portes closes. La précision de mes mouvements était fulgurante, mais je sentais autre chose jouer à l’intérieur de mon corps. Une chose inconnue, que je n’avais jamais vraiment ressentie avant. Ce n’était pas l’excitation, c’était autre chose, de plus familière... de plus profond.

N’y prêtant qu’une attention modérée pour ne pas me viander et finir en pâté pour zombie, je continuais à avancer jusqu’à finalement atteindre la tête du convoi après plusieurs minutes à jouer à l’équilibriste. Il était temps d’escalader le tas de cadavres qui formait une sorte de tour jusqu’au mur. Cependant, quelque chose m’interpella, chaque zombie qui parvenait à monter ne redescendait pas immédiatement. Je m’en mordis les lèvres, n’accélérant qu’un peu plus ma cadence pour arriver à rentrer chez moi.

Une fois passé le dernier cadavre qui s’était gentiment planté à l’intérieur des barbelées pour créer un beau passage, l’horreur qui se jouait fit naître un frisson. Un long frisson qui descendit mon dos pour me rappeler qu’il n’était jamais bon d’arriver en retard. Comme je le redoutais, les hauts des remparts étaient désertés, il n’y régnait plus que mort et destruction. La structure de bois laissait glisser le sang de mes hommes défigurés dans les interstices qui séparaient les planches. La colère se fit encore plus grande en moi et le grognement qui me suivait ne fit que l’accroitre. Il était temps de renvoyer tous ses fils de chiens d’où ils venaient ! Ne pouvant guère les affronter tous — bien que l’envie était très présente. — j’optais pour un magnifique coup de pied dans la tête de celui qui escaladait. Le coup fut très fort et la créature mangea l’intégralité de ma semelle. Étant en total déséquilibre, il bascula en arrière entraînant avec lui le reste de la tour. Un problème de temporisé... il en restait encore beaucoup à terminer.

La fureur des combats était sans précédent, nos hommes usaient leur munition sans ménagement pour avoir une chance de voir le coucher du soleil, mais la plupart n’avaient jamais eu de combat réel. Les armes s’enraillaient et les balles si précieuses allaient finir par manquer très vite. Cependant, je n’eus pas vraiment le loisir d’observer calmement. Une main venait de se serrer sur mon mollet. L’un de nos hommes rescapés des remparts était toujours en vie. Son état était pitoyable et la large marque de griffures sur son torse ne faisait aucun doute sur son sort. Le malheureux me suppliait de faire quelque chose. Savait-il réellement qui j’étais ? J’en doutais... dans un tel état, il ne devait même pas être capable de me voir distinctement. Mes yeux se fermèrent, et le sabre que je tenais dans la main droite vint se planter dans le corps du malheureux, pour achever ses tristes souffrances. Il n’y avait aucune émotion dans ce geste, aucune de visible en tout cas.

J’avais pourtant entendu la prière du mort et escomptait bien retourner cette foutue situation à notre avantage. Un monstre tenta de me prendre par surprise, mais mon sabre vint sectionner son buste dans un mouvement rotatif avant d’emporter cette saloperie dans un autre monde. Sans plus de cérémonie, je sautais du haut des remparts pour tomber sur le sol. Partout, les corps de mes anciens camarades restaient figés, une expression de désespoir affichait à jamais sur leur visage. À chaque cadavre que je croisais, mon sang ne faisait qu’un tour, mais rien physiquement ne laissait entrevoir la fureur qui se battait au fond de mon âme. J’avais repéré ma cible de là-haut, il s’agissait d’un zombie qui venait de buter pas moins de cinq hommes avec une agilité surprenante. Ce qui avait motivé ma décision c’était les cinq personnes qui fonçaient dans sa direction. Je devais les rattraper au plus vite, si je voulais à tout prix éviter le carnage. Ce monstre n’était pas exactement comme les autres.

Mes yeux se fermèrent, afin que je concentre toute la volonté dans mes jambes. Eux n’avaient pas osé sauter les quelques mètres qui séparaient le rempart du sol, j’avais donc une chance de l’atteindre avant au vu de sa position. Dès que mes pupilles furent à nouveau en contact avec la mort et la fumée sombre, mes jambes me portèrent en quelques secondes devant le monstre. L’effet de surprise allait sans doute jouer en ma faveur, puisque le monstre terminait une basse besogne retirant ses griffes du visage d’une soldate. Une fois à quelques mètres de lui et alors que je pensais le combat gagné d’avance, l’étrange créature fit preuve d’une agilité surprenante et esquiva mon premier assaut en se déplaçant sans aucune grâce sur le côté opposé à mon attaque. Merde ! C’était quoi ce bordel ? Depuis quand un foutu zombie pouvait-il suivre mes mouvements ?

Toujours imperturbables physiquement, mes yeux observaient le monstre qui me faisait face. Derrière moi, j’entendais déjà le son des bottes de ceux qui arrivaient. Impossible de les laisser affronter ce foutu monstre ! C’était du suicide pour eux. La lame rouge dansa légèrement dans ma main, avant que je n’adopte une garde neutre. Ses griffes semblaient puissantes, mais ce qui était réellement impressionnant chez cette saloperie... c’était sa vitesse et cette agilité... la seule chose qui trahissait ses origines, c’étaient les vêtements qu’il portait et son encore légèrement humaine. Des restes de cheveux trônaient toujours sur son crâne, et son visage semblait pouvoir exprimer quelques émotions. En revanche... il était beaucoup plus grand et fort que les autres qui tambourinaient contre la porte ou tentait d’escalader les murs. Un soupir traversa mes lèvres, pendant que j’esquivais ses griffes qui tentaient de m’atteindre. Le bougre était rapide, mais ses attaques étaient aussi prévisibles que celles de ses confrères. Ce qui augmentait considérablement mes chances de l’emporter.

Après une série d’esquive de longue haleine, je pris un peu de distance dans l’espoir qu’il me suive. Bingo ! Sans faire preuve du moindre esprit tactique, le monstre fonçait sur moi. Mon accueil fut terrible, ma main gauche se posait déjà sur le manche de Kîbo, alors que la lame rouge traça une ligne qui fit tomber son bras gauche sur le sol. Sans montrer la moindre douleur, la créature attaqua à nouveau, mais je glissais dans l’ouverture béante pour lui présenter ma seconde lame. L’immaculée glissa hors de son fourreau pour venir entailler son flanc gauche. Avant de me retourner pour viser de mon autre arme son cou, l’envoyant vers un futur certain. Sa tête roula sur le sol et je soupirais avant de l’écraser.

Le combat fut intense, mais bref. Mes deux sabres dansèrent dans l’air pour se décharger du sang avant de repartir à leur sommeil. Ainsi, j’eus tout le loisir de me retourner vers les arrivants. Mon regard se posa sur eux et une lueur de joie l’emplit quelques secondes. Miya et les autres étaient en vie, un type que j’avais déjà croisé leur filait le train. Le calme était revenu dans cette zone. Il ne restait que les cadavres de zombie et de celui que j’avais gentiment renvoyé, difficile de dire si c’était l’autre énergumène ou les hommes qui les avaient défiés, la plupart montraient de sérieuses marques de lacération. Une information capitale qui allait pouvoir nous être utile. Fort de cette nouvelle, j’approchais lentement des autres pour leur donner de nouveaux ordres. Il était temps de mettre la théorie en pratique.

— Je vais vous charger d’une mission. Trouvez de l’alcool et récupérez du tissu, nous allons créer un mur de feu devant les portes pour les empêcher d’escalader. Ne vous déplacez jamais seul, groupe de trois minimum et n’utilisez les munitions qu’en dernier recours.

Une approche directe qui ne laissait pas la place au sentiment qui se lisait dans mon regard. Pas même un « content de vous voir en vie. » Non, rien qui ne laissait présager que j’avais un cœur. Un soupir traversa mes lèvres, pour montrer que même moi, j’avais du mal à faire face à une telle situation. Mes ordres étaient clairs et j’espérais bien que l’inconnu derrière allait s’y plier. Il ne faisait peut-être partie de l’unité, mais je restais un « commandant » au sein de l’armée du frangin, ceci à mon grand désarroi. Mon regard resta bloqué un moment sur l’étranger. Il portait dans sa main une arme qui ressemblait trait pour trait à celle qui dormait dans son holster. À quelques détails prêts, la sienne n’était pas un trois coups et ne portaient pas les fines sculptures. L’idée de lui prêter mon flingue était bien présente dans mon esprit, bien que je n’oubliais pas que le Mastodonte m’en avait fait cadeau, mais la situation était désespérée et je connaissais la puissance et la précision de celle qui me suivait partout. Il lui faudrait peut-être un petit temps d’adaptation, vu que l’arme avait été créée sur mesure, mais il s’en tirerait sans doute très bien. Voilà pourquoi j’ouvris ma veste et plongea ma main dans l’holster pour en sortir mon petit bijou. Nul doute, que le mastodonte c’était servit du modèle de l’inconnu comme base de travail. Je récupérais également les deux chargeurs de trois balles qui me restaient pour les envoyer vers l’inconnu avant de lui tendre l’arme crosse en avant.

— Prends-le, mais si tu le perds ou que tu le casses. - je décidais de marquer une courte pause pour qu’il comprenne bien le message. - tu es un homme mort.

L’avertissement n’était peut-être pas si utile. Mon regard se suffisait sans doute à lui-même, mais c’était dans ma nature de bien préciser certaines choses et de rester très évasif sur d’autres. Un autre soupir vint frapper mon visage pendant que mes yeux se posaient sur Miya. Comme à chacune de nos rencontres, la mort était omniprésente. Cela était presque devenu une routine, un acte comique qui ne devait pas en être un. Mais dans un monde en proie à la destruction. Était-ce si surprenant ? Pas vraiment. Un long soupir s’en suivit. Il était temps d’épancher mes craintes.

— Vous avez vu un homme de ma corpulence, me ressemblant avec des cheveux plus courts et un Katana dans son dos ?

La description correspondait à mon paternel, mais aussi à James s’il sortait avec son nouveau jouet. Bien que je voyais mal le frangin utiliser une telle lame. Notre discussion ne put durer plus longtemps, la tour de cadavre ambulant était de retour et les zombies avançaient sur le plancher des murailles. À peine l’entendis-je, mes mains se posaient sur mes deux sabres respectifs pendant que mon regard fixer les gens devant moi.

— Allez-y, je vais les retenir le temps que vous entriez dans la cantine.

À ces mots, je tirais déjà la lame rouge et la fit virevolter autour de moi avec une aisance non dissimulée. L’heure était venue de se remettre au boulot, pour le meilleur et pour le pire. Cependant, avant que mes compagnons ne partent, j’attrapais le bras de Miya et baissa mon regard pour qu’elle ne puisse observer mes yeux emplis d’émotions bien humaines.

— Revenez en vie.

Peut-être aurais-je dû rajouter « j’ai besoin de vous. » Mais les mots restaient coincés au fond de ma gorge. Heureusement, le combat à venir allait me permettre de reprendre mon air de connard sans émotion. Bien que je restais inquiet pour le con qui me servait de frère...




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MessageSujet: Re: Un mois et quatre jours Un mois et quatre jours Icon_minitimeMer 9 Mar - 0:10

La jeune femme était déterminée à arrêter ce monstre avec ses camarades, quitte à se sacrifier. Ce zombi n’irait pas plus loin, il fallait le stopper. Elle n’était pas seule à partager cette conviction, Mikhail et Vladimir, ses amis lui donnait aussi la force de s’engager sur le chemin jonché de cadavre et les menant vers un risque de blessure certains. Une autre personne vint les rejoindre, un TS qu’elle avait vaguement entraperçu quelques fois mais dont le nom lui échappait toute suite. Ils feraient surement connaissance plus tard.

Ils furent tous devancés par un nouvel individu semblant surgir de nulle part pour attaquer la créature à lui seul. Miya remarqua à leur combat à quel point cela aurait été suicidaire pour eux de s’y attaquer avec leurs capacités actuels. L’inconnu venait sans doute de leur sauver la vie. Enfin inconnu… Miya avait l’impression de le connaître sans arriver à mettre le doigt dessus. Etait-ce le style employé aux katana ? L’adrénaline, le stress et l’horreur faisant un petit mélange qui la déconcentrait, elle mit ce détail de côté. Là encore, les connaissances ce feraient plus tard, si plus tard il y avait…

L’inconnu du moment réussi à en finir avant qu’ils n’aient le temps de penser à faire quoique ce soit pour l’aider. Le japonais, puisque visiblement s’en était un, donna des instructions comme si il était un supérieur. C’était peut être le cas, ou pas, mais l’idée était censé et s’était ce dont tout le monde avait besoin : une direction, quelques chose d’utile à faire, à se raccrocher.  Celui-ci passa à une arme à l’autre individu, créant ainsi une sorte de lien entre les deux hommes. Puis il leur demanda :

— Vous avez vu un homme de ma corpulence, me ressemblant avec des cheveux plus courts et un Katana dans son dos ?

Miya essaya d’actionner deux trois souvenirs mais rien ne lui venait à l’esprit. De toute façon… En fait elle réalisa qu’elle n’avait simplement pas cherché plus que ça à prêter attention aux alentours pour éviter de voir… le carnage. Aussi secoua-t-elle la tête négativement pour avouer :

- J’ai pas regardé.

Miya ne voulait pas donner de faux espoir ou quoique ce soit, la policière n’en savait juste absolument rien. Mikhaïl haussa les épaules en réponse et Vladimir resta impassible, surement pour ne pas montrer le stress grandissant. Ensuite ils se dirigèrent vers la cuisine, après les quelques mots échangés. La cuisine… Ils pourraient surement rejoindre Steven, Emerich et Leonardo ainsi, aussi se dépêchèrent t’il d’y aller. Néanmoins, Miya se sentit soudain tirée par le bras.

— Revenez en vie.

Elle fut surprise et reconnu enfin celui qui avait attaqué la créature. Bien sûr… Les katana… Les yeux rouges, la voix… Ozuki. Aussi répondit-elle dans un souffle :

- Toi aussi.

Puis ils partirent pour de bon, s’engouffrer dans les cuisines à moitié défoncé. Il devait y avoir d’autres ABO dedans, et cela les incitait à marcher plus vite. Miya ajusta son fusil sur son épaule et serra sa hache – qui servait normalement à couper du bois – fermement, entrant dans le bâtiment, sans avoir besoin d’ouvrir la porte qui avait été enfoncée, ce qui n’était guère rassurant. Elle regardait à droite et à gauche suivit à ses côtés de ses coéquipiers. Des cadavres jonchaient ci et là le sol. Pas Steven, pas Steven…. Cette pensée raisonnait comme un mantra dans sa tête au fil de ses pas. La cuisine était calme, trop calme. En s’avançant elle entendit quelque chose… Des sanglots étouffés. Cela ne présageait strictement rien de bon.

Le groupe s’avança vers les cuisines, là où les couverts étaient lavés. Miya eut du mal à digérer la scène se déroulant sous ses yeux. Un licker était mort, ayant pris directement le canon du fusil de Steven dans la gueule, mais cela s’était produit au sacrifice de celui-ci, déchiqueté par les griffes du monstre dans son geste héroïques pour sauver les deux jeunes gens sous sa garde. Leonardo, l’italien à l’apparence frêle et juvénile, était la source des sanglots entendu, et Emerich, l’allemand plus musclé à l’allure plus punk, le bâillonnait de sa main pour essayer de faire en sorte d’être plus discret, un couteau à la main pour éventuellement se défendre. Personne n’eut le temps de s’apitoyer pour le moment, le danger était trop grand. Emerich indiqua d’une main tremblante – preuve que derrière son impassibilité apparente, le choc était bien là – l’autre bout du couloir où un autre licker dévorait tranquillement un cadavre frais. Celui-ci releva la tête vers eux.

Vladimir fût le premier à parler, d’une voix froide, aux deux jeunes hommes :

- Réunissez tout l’alcool que vous pourrez trouver dans cette pièce.

Eux aussi avaient besoin d’un but auquel s’accrocher pour ne pas fléchir, de plus cela avancerait le mouvement. L’allemand relâcha l’italien, qui avait fini par renifler silencieusement et ils se mirent à la tâche.

Miya se concentrait sur sa colère pour ne pas céder aux désespoirs. Et l’ABO chargea. De rage, l’ex policière lui balança sa hache, qui atterrit dans son buste, ne la ralentissant que très modérément. Mikhaïl eut le bon sens de fermer la porte lourde des cuisines, ce qui ralentit moyennement le monstre qui passa à travers. Vladimir s’était mis en embuscade pour tenter d’accueillir la créature à coup de katana pour la décapiter. Miya avait à présent les mains libres pour son fusil. Plus que cinq balles. Ensuite se serait à l’arme blanche.

Le samouraï en herbe loupa son coup, n’enfonçant qu’au un quart la lame et dû plonger au sol pour éviter la lacération, lâchant son arme. Miya tira, et loupa son coup, la créature bougeant vite et le calme de l’ex policière étant partit depuis longtemps. Plus que quatre. La situation s’annonçait tendue.
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MessageSujet: Re: Un mois et quatre jours Un mois et quatre jours Icon_minitimeLun 18 Avr - 20:50



On ne peut pas dire que tout était au beau fixe.. Son arme était efficace, mais le manque de balle allait vite changer la donne. Collé contre une caisse, l'ancien inspecteur de police se contentait de trouver une trouée pour agir... mais alors que le zombi au allure de grosse brute approchait, c'est un samouraï qui intervint, tel un héros sans cape. Vraiment, par le passé, Leto aurait  râler devant une telle façon de faire. Ce genre d'action c'était bien pour le cinéma. Mais en ce moment.. il valait mieux en profité pour bien agir.  Il termina son chargeur sur un assaut qui venait à leur droite.. avant de voir pendre devant son nez.. une arme... pas tout à fait comme la sienne, mais assez similaire tout de même. Enfin, ça vaudra jamais son Matever auquel il vouait une parfaite confiance. Il connaissait parfaitement son équilibrage... c'est ce qui faisait de lui un fort bon tireur. Cependant, son regard anthracite se leva sur celui du Samouraï et le remercia en silence en prenant l'arme.. ça ne pourra qu'être utile vu l e combat actuel.  Il était évident qu'il le lui rendra par la même occasion.

Se redressant cependant, l'homme vint à demander s'il avait vu James.. car il ne faisait aucun doute que c'est bien de lui dont on parlait.. à moins qu'il y est un autre sosie ?.. Non.. franchement, un seul James c'était suffisant. Déjà que le premier le tannait avec ses médicaments et ne nombre de ses cigarettes.. Enfin il y avait pis de toute façon.. mais quand même, notre irlandais ne se voyait pas comme fragile. Il se voulait efficace, surtout pour ses compères.


Il doit être plus loin dans le camp. J'étais seul quand l'attaque c'est manifesté.

C'est la seule chose qu'il pouvait dire pour le moment.. avant de s'assurer de la bonne prise en main de cette nouvelle copine dans sa paume... vraiment.. belle arme... On ne peut pas dire que cette personne ne s'y connaissait pas. Pour le reste, il valait mieux ne pas rester ici, et le samouraï était déjà parti tout en leur rappelant une stratégie qui fit sourire Leto.  Cette idée.. c'était quasiment la même qu'employé il y a quelques années plus tôt, alors qu'il pensait se détendre dans un bar... C'est depuis ce fameux jour que son univers s'était agrandit... et que les doutes envers Umbrella... avaient grandit en son intellect. Plus rien n'avait été comme avant. Si ce n'était cette cicatrice sur le torse et ce qu'elle représentait.

Hâtant le pas,  Leto suivit le mouvement avec cette femme, et repéra les cuisines.. Enfin.. si cet Abo avait bien le désire de les laisser en paix... Son compte réglé, l’ancien inspecteur de police vint à ajuster son tir pour dégager la porte et invita  à entrer... venant à tenter d'être discret.. c'était pas l'idée d'attirer du monde alors qu'il commençait à faire les placards pour chercher de l'alcool fort... Tant pis pour les amateurs, c'était ça ou crevé. Ceci dit.... il fallait aussi des chiffons et... .. farfouillant dans sa poche.. éhéh.. il était là lui... son fameux briquet.. en plus il l'avait rempli depuis peu.. ça allait être bien utile..


   Je crois que j'ai ce qu'il nous faut...

Fit il en s'adressant à Miya, lui lançant une bouteille pour en prendre une autre. Puis il déchira un peu son t-shirt pour faire des mèches... Après tout, on était pas là pour être présentable ou pas.. mais bien pour survivre..

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MessageSujet: Re: Un mois et quatre jours Un mois et quatre jours Icon_minitimeDim 24 Avr - 21:52


Et pow pow pow!Featuring → Ozuki Lindley, Miya Izumi Yevriska, Leto Halleck


Quel foutu situation que de voir son camp de Rebelles attaqué par des foutus armes biologique... Ou est-ce qu'ils avaient tous merdé ? Tsss.. Il y avait qu'une chose à dire, James était relativement en colère contre ces gardes et aussi contre lui même. Certains avaient l'air de littéralement paniquer face à ces monstres, et sa engendrait qu'une seul chose : la mort. Enfin.. Après ces crétins finissaient par se relever... et sa foutait le bordel encore plus... Mais, James était là, avec un peu de chance Ozuki rentrerait également... Le jeune homme a la chevelure ébène avait beau tenter de proteger un maximum de ces gars et des civils du camp, il savait pertinement que certains finiront par mourir.

Lindley serra les dents rien qu'à cette pensé, alors qu'il se prit un mauvais coup du monstre qu'il était en train de combattre tant bien que mal... Pour finir par, vu la force de la chose, éjecter en arrière... Et de finir par se prendre un mur de plein fouet. Foutu connerie de monstre ! Si Umbrella avait jamais exister toute cette merde ne serait jamais arrivé ! Et il vivrait encore bien pénard dans son appartement à picoller et se faire les putes du coin. Et depuis cinq ans, il avait quoi ? De l'alcool, des doses de sérums... Et les nanas restaient assez rare dans le coin... Enfin... sa dépend. Non ? Humph... Ce n'était pas le moment de pensé à ce genre de chose. Le leader de la rébellion secouera la tête, en se relevant doucement. Affichant un sourire sur son visage alors que ces pupilles rouge -du au virus qui l'infecte depuis un moment – se poseront sur l'arme biologique à la main géante.

Cette créature était horrible... Et il venait à se demander quel genre de monstre serait-il si le virus prenait le dessus sur lui... près tout, il y avait diverses mutations... Et il n'était pas éternel, il le savait, soit il finirait tué sur le champ de bataille, soit c'est le virus qui l'aurait... Tss... Est-ce qu'il s'attendait à mourir dans les jours, les semaines voir les mois à venir ? Qui sait ? Il était assez difficile à cerner, notre cher James Kurtis Lindley. L'homme serra les dents en se relevant totalement, serrant son sabre entre ces doigts... Il ne l'avait pas dégaîner depuis qu'il était entrer sur le champ de bataille, qui était son camp à l'heure qui l'est et il comptait pas le faire non plus... la créature poussera un crie stride, alors que James pencha la tête sur le côté en souriant.

 « Foutu monstre... Moi aussi je peux gueuler, face de pet »

Ce qui fut dit... fut rapidement fait... James se mettra à gueuler aussi à l'encontre de la bestiole, avant de sourire... Il avait l'air si carnassier... Faire couler le sang, depuis le temps... il avait finit par y prendre goût, surtout quand s'était des monstres, ou des ennemis... Ce pauvre garçon devenait complètement fou... Est-ce que sa folie finira par le tué ? Qui sait ? La créature frappera ce qu'il pouvait, entourer de soldats... En les voyant, James leur lancera des ordres... Viser la tête bande de crétins... Le chef des Rebelles frappera un zombie qui tentera de l'attraper d'un bon coup de sabre... non dégaîner... avant de partir s'occuper de nouveau de cette créature, qui tentera de l'attraper de son immense main... qu'il évitera de justesse, enflammant son bras de son feu du au virus... la créature se mettra à crier... marchant à reculons... Mais Lindley ne le lâchera pas d'une semelle, se mettant à le frapper à coup de sabre, toujours dans son fourreau, sur le bras, les jambes...

James ne savait pas du tout ou était les autres, il espérait que son frère n'avait pas de problème... Et que Leto allait bien. Il était encore en vie hein ? Celui là... dès que ce petit con serait à porter de main, il s'assurerait qu'il prenne ces médicaments et qu'il n'ait pas trop fumer de cigarettes. Comme il le faisait habituellement n'est-ce pas ? Quand à la petite Miya... ma fois, pour l'heure il s'en fichait un peu, il n'avait pas encore vu leur potentiel et si elle finissait par mourir, avec les autres, c'est qu'ils étaient pas digne de faire partie de cet unité spécial que son cadet désirait tant. Un soupire s'échappera de ces lèvres, alors qu'ilé vitera de justesse un coup du monstre à la main géant en faisant une roulade sur le côté.... Putain... Il allait quand même pas devoir user de son virus quand même ? Putain.. ; et ces soldats qui avait encore du mal à se coordonnée... enfin... s'était déjà mieux que ce qu'il avait put voir, grace aux ordres qu'il donnait à chaque fois...



[HRP= Elle est belle la bebette qui veut ma mort hein? Iciiii
James K. Lindley
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